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 Se dépenser pour la cause.

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Gébé Tremblay
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Gébé Tremblay


Messages : 85
Date d'inscription : 15/09/2007
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Se dépenser pour la cause. Empty
MessageSujet: Se dépenser pour la cause.   Se dépenser pour la cause. Icon_minitimeVen 12 Oct - 18:21

Se dépenser pour la cause. Marois10

La Closerie, est le symbole bien concret et somptueux de la Duperie qu'a toujours été ce parti politique "prétendu" indépendantiste et au service du bon peuple Québécois !

L'île Bizard et son Palais sont l'oeuvre du PQ en association avec les fédéralistes les plus notoires.

Pauline Marois et Claude Blanchet sont mariés depuis 1969.

En 1986, le mari de Pauline Marois(qui est alors ministre), Claude Blanchet, avec ses associés fédéralistes, Henry Walch et Mario Grilli, achettent des terres agricoles de l'île Bizard qui appartenaient à Robert Campeau (Campeau Corp) qui sombrait alors dans la faillite.

Le mari de Pauline Marois était le "bras droit" de Robert Campeau à Ottawa, et c'est grâce à leurs liens intimes et d'amitiés avec des ministres et hauts fonctionnaires fédéraux, tels que; Jean Chrétien, Jean Marchand, Marc Lalonde, and Michael Pitfield, que Campeau Corp eut tant de succès financiers en Ontario.

La suite, grâce à un article de La Presse de 1989:
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La Presse
Nouvelles générales, mercredi 14 juin 1989, p. A4
Zonage agricole: autre cas de favoritisme à l’île Bizard? L’époux de Pauline Marois profite d’une décision d’un commissaire péquiste

Bernard, Florian

Le 30 juin 1988, la Commission de protection du territoire agricole du Québec, rendait une décision ayant pour conséquence de soustraire 456 hectares de la zone agricole permanente de l’île Bizard. Les terrains en question appartenaient principalement à trois actionnaires: le groupe immobilier Grilli Inc, M. Henri Walsh et M. Claude Blanchette, époux de l’ancienne ministre péquiste Pauline Marois.

Cette décision était rendue par deux membres de la Commission: le vice-président Me Louis A. Cormier, et le commissaire Léandre Dion. Durant des semaines, divers organismes - dont l’Union des producteurs agricoles et le comité d’Environnement de l’île Bizard - avaient tenté, en vain, de faire échec à cette modification de zonage.

Le commissaire qui a rendu la décision, M. Léandre Dion, a été président de l’Association péquiste de Saint-Hyacinthe de 1979 à 1984, soit durant une période de cinq ans.

Il a été nommé commissaire à la Commission de protection du territoire agricole le 25 septembre 1985 par un décret proposé par le ministre de l’Agriculture, M. Jean Garon, et signé par le greffier du conseil exécutif, M. Louis Bernard.

Durant les trois années subséquentes, soit en 1985, 1986 et 1987, M. Dion a contribué de façon régulière à la caisse électorale du Parti québécois du comté de Saint-Hyacinthe, comme en font foi les rapports financiers annuels déposés auprès du Directeur général des élections du Québec. Pour chacune de ses contributions, M. Dion a donné une adresse à Saint-Liboire, dans le comté de Saint-Hyacinthe.

La valeur des terrains soustraits de la zone agricole représentait, au moment de la décision de la Commission de protection du territoire agricole, quatre cents le pied carré. Elle est actuellement de $2 le pied carré. Lorsque les terrains en question seront dotés des services municipaux, la valeur au pied carré atteindra environ $4.50. La valeur globale des 456 hectares soustraits au zonage agricole atteindra alors $200 millions.

Cette évaluation a été faite par le comité d’Environnement de l’île Bizard. La présidente, Mme Nicole David-Strauss, est d’opinion qu’il s’agit d’une évaluation conservatrice. Tout récemment, le groupe Grilli a fait grimper de $5 millions à $30 millions le prix demandé pour une partie boisée que souhaite obtenir la Communauté urbaine de Montréal dans le but d’en faire un parc régional.

La semaine dernière, la firme Gendron, Lefebvre et Associés a déposé une étude, commandée par la municipalité, où l’on propose un vaste développement domiciliaire sur les terrains ayant profité d’une modification de zonage.

Décision maintenue

Le 1er octobre dernier, la Commission de protection du territoire agricole a maintenu sa décision de première instance de soustraire les terrains de MM. Grilli, Walsh et Blanchette de la zone agricole de l’île Bizard.

La Fédération de l’Union des producteurs agricoles des Laurentides et le syndicat de l’UPA-Laval, appuyés par le Comité d’Environnement de l’île Bizard, avaient réclamé une révision de la décision rendue en juin 1988 par les commissaires Léandre Dion et Louis A. Cormier.

Le président du syndicat de l’UPA-Laval, M. Gilles Lacroix, se demande ce qui a bien pu se passer pour que la Commission autorise le retrait de ces 456 hectares à la zone de protection agricole. Il a rappelé aux commissaires que la Commission avait déjà, en 1980, 1981 et 1986 (période au cours de laquelle le PQ était au pouvoir), refusé de modifier le zonage de ces terres et rejeté tous les arguments des promoteurs qui réclamaient l’exclusion.

L’UPA a fait la preuve que le secteur, contrairement aux déclarations faites en première instance, n’a jamais perdu sa vocation agricole. L’UPA a soumis une liste de neuf producteurs actifs, cultivant une superficie de 250 hectares. Certains d’entre eux vendent leur récolte au marché central de Montréal


Fin de l'article.
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En 1997, contrairement aux règles, c'est le cabinet du PQ, au lieu du Conseil d'administration élu, qui nommera le mari de Pauline Marois (alors Ministre des finances) au poste de Président. C'est Marois elle-même qui établira son contrat et salaire contrairement à la règle qui spécifie que ce sera le C.A. élu.

Blanchet à la SGF:
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(Tribu du verbe 2002)
En conférence de presse hier, Claude Blanchet, président de la Société Générale de Financement, tentait de justifier les bonis faramineux qu’il s’octroye, même lorsque le rendement de la SGF est négatif (faut-il préciser qu’il s’agit de bonis de performance, qui sont versés au gestionnaire lorsque celui-ci fait un excellent travail). Il est difficile de parler d’excellent travail de la part de monsieur Blanchet. On peut même difficilement qualifier son travail de correct. Depuis qu’il dirige la SGF, le rendement de cette institution n’a fait que se dégrader année après année suite à plusieurs mauvais placements, sans que les primes de rendement de ce dernier n’en soient affectées.

Dans les trois dernières années, monsieur Blanchet a touché des bonis variant entre 67% et 96% de son salaire chaque année alors que le rendement de la SGF était négatif. Il a presque doublé son salaire de 230 000$ en 1999 avec une “allocation d’une prime additionnelle pour performance exceptionnelle dans un dossier”, mais lorsque la SGF est interrogée quant à savoir de quel dossier particulier il s’agit, on reste muet…

Non content de voir sa médiocre performance récompensée monétairement, voilà qu’il explique que c’est nous, la plèbe, qui ne comprenons rien aux marchés financiers. Il réplique que “le taux de rendement négatif de 4% enregistré par la SGF en 2001 n’est pas une mauvaise performance pour qui comprend le mandat de l’organisation et compare la SGF avec ce qui s’est fait ailleurs”. J’aimerais qu’on m’explique comment un rendement négatif peut constituer une “bonne performance”. Sauf votre respect monsieur Blanchet, vous nous prenez pour des imbéciles.

Monsieur Blanchet soutient qu’il “s’agit d’argent bien mérité compte tenu du bon travail effectué par son équipe et considérant que ce qu’il gagne est beaucoup moindre que la norme du secteur privé”. Si Claude Blanchet n’est pas satisfait des salaires dans le domaine public, qu’il aille faire application ailleurs. Avec ses performances des dernières années, je ne suis pas sûr que le privé l’engagerait…

Mais Claude Blanchet n’a rien à craindre, puisque son patron, la Ministre des Finances Pauline Marois, est aussi, quelle coïncidence, sa femme! Elle a renouvellé son contrat cette année sans que personne ne soit consulté, malgré les maigres performances de la SGF depuis que son mari s’y trouve et malgré l’apparent conflit d’intérêt d’une telle opération. Voilà pourquoi monsieur Blanchet ne craint pas pour sa sécurité d’emploi, peu importe la médiocrité de son travail. Pauline n’a pas l’intention de faire vivre son parasite de mari. Elle lui a donc trouvé la tablette parfaite où il peut vivre aux crochets de l’État…

La Société Générale de Financement gère NOTRE argent. Pourquoi ne pas envoyer un courriel à Claude Blanchet afin de lui faire savoir ce que vous pensez de ses “performances exceptionnelles”…
(Tribu du verbe 2002)

Fin de l'article
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Actuellement, le mari de la Chef du parti "indépendantiste", Claude Blanchet, est associé à de nouveaux fédéralistes notoires dans une société à capital ouvert, iPerceptions.

C'est au Palais du PQ sur l'île Bizard qu'ils recoivent somptueusement leurs nouveaux associés tels que Jerry Tarasofsky, grand financier du B’nai Brith Senior Residence à Côte Saint-Luc ainsi que créateur d'un lodge B'nai Brith pour les diplômés de McGill comme lui.

Ils ont récemment fait une grande réunion de 75 membres il y a six mois à la synagogue Shaare Zion.

Pour les indépendantistes qui seraient intéressés à s'inscrire au lodge du B'nai Brith, question de rencontrer de riches alliés qui pourraient "contribuer" à notre cause:

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If you are interested in joining the first new B’nai Brith Lodge in over 40 years, email Jerry at jerry_tarasofsky@yahoo.ca.
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Des nouvelles de iPerceptions:

En conséquence, l’Autorité des marchés financiers :

interdit à Claude Blanchet, Barry Cracower, Jerry Tarasofsky, Denis M. Sirois, Daphne Kis, Jean Lavigueur, Martin Faucher, Daniel Taras, Richard Zeidel, Jonathan Levitt, StephenBurns, Robert Duff Anderson, Elaine Tarasofsky, Joseph Callaghan, Adelina (Lina) Continelli, Sandra Haydon et Eric Salpeter d'effectuer, directement ou indirectement, touteactivité reliée à des opérations sur les valeurs de iPerceptions Inc., aux motifs quel'émetteur ne s'est pas conformé aux obligations de dépôt des états financiers et du rapport de gestion relatif aux états financiers prévues au Règlement 51-102 et que ces personnes ont été administrateurs ou dirigeants de l'émetteur depuis que celui-ci a déposé ses derniers états financiers conformément aux exigences applicables et, en tant qu'initiés del'émetteur, ces personnes peuvent avoir été informées de tout fait ou changement importantconcernant l'émetteur qui n'a pas été rendu public après la date des états financiersdéposés.

L’interdiction est prononcée le 14 septembre 2007.

Josée Deslauriers Directrice des marchés des capitaux
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